samedi 9 avril 2022

Supramental




Nous sommes un être etherique faisant l’expérience de l’existence dans la matière. Ce corps dense est coupé de son esprit, ce corps a une densité d’énergie si basse que l’énergie de l’esprit est trop forte pour pouvoir entrer intégralement dans ce corps pour le moment.

Ce corps est protégé de sa partie etherique par un corps astral, c’est à dire un voile constitué de formes pensées venant de la polarisation issue du libre arbitre : c’est la naissance de l’ego.


Cet ego développe une identité illusoire séparée de notre esprit à cause de ce lien avec lui qui est hautement parasité par des formes pensées. Ces formes pensées ont une origine artificielle. Nous avons accepté des pensées venant de l’extérieur en les polarisant. Quand on polarise, on consent de facto à la réalité de ce sur quoi on polarise. 

Par exemple, la propagande médiatique martèle qu’une nouvelle maladie est hautement mortelle et en polarisant, c’est à dire en rentrant dans le débat de la réelle mortalité ou pas de la maladie, on a inconsciemment consenti à l’existence de la maladie en question. 

Et à chaque fois que l’on polarise, on consent, on admet la véracité de l’existence du sujet sur lequel on polarise et on participe à sa création.

Ces formes pensées sont liées aux émotions dues à la polarisation, j’aime - je n’aime pas ( le bien et le mal) : le désir d’avoir ce qu’on aime et la peur de ce qu’on n’aime pas. Ces formes pensées mémorielles, ce corps et les personnalités programmées astrologiquement font de nous des prisonniers consentants, sans aucun choix, perpétuellement en réaction. Il n’y a donc pas de libre arbitre et tout repose sur le grand Mensonge d’origine : notre consentement à la réalité de ce qui expérimenté.

Nous nourrissons ces formes pensées présentes dans notre corps astral aussi longtemps que nous polarisons et que nous avons des émotions. Plus il y a d’émotions astrales, plus on est voilé, plus on dort.


Lorsqu’on prend conscience qu’on tourne en rond, que quelque chose cloche, qu’on souffre dans des situations récurrentes, que tout n’est que mensonges, on commence à se révolter et à se réveiller.


La formation du corps etherique nous amène à la conscience supérieure et se fait au fur et à mesure de l’abandon des croyances. Cet abandon des croyances se fait par des conscientisations. Chacune des conscientisations nous fait toucher plus profondément à la réalité en nous faisant mourir à ce que nous croyons. Chaque conscientisation est une petite mort, il y a littéralement une envie de s’allonger en position fœtale et de mourrir. Même si c’était des idées avec lesquelles on jouait intellectuellement depuis longtemps, se rendre compte que c’est réellement ça est souffrant. Pour prolonger le bénéfice des conscientisations, on peut pratiquer le rappel de ce qui a été vu/su.


Le supramental ou supraconscience ou conscience supérieure est différent du mental ordinaire. Le mental ordinaire est voilé, comme dans un brouillard, à cause de la présence des formes pensées mémorielles. Le supramental est clair, très vibrant, la vibration vient par le haut de la tête. Il est etherique, il n’est pas astral et ne peut cohabiter avec la personnalité car elle est astrale. Il y a communication, une communication télépathique informative lorsqu’on est dans le supramental. Dès qu’il y a une émotion, le lien télépathique se coupe, on retombe dans le mental ordinaire voilé.


Lorsque l’on passe du mental supérieur au mental ordinaire, il y a une impression de retomber dans un brouillard qui ne nous permet pas une vision, une compréhension claire d’une situation. Tant qu’on n’a pas connu autre chose que ce mental ordinaire, on ne se rend pas compte à quel point notre compréhension y est limitée, on est littéralement embourbé. Je pourrais appeler le mental ordinaire, le mental mémoriel émotionnel, le mental astral. Les formes pensées le voilent.


Les formes pensées sont alimentées à chaque situation à laquelle nous réagissons. Les situations récurrentes permettent d’identifier quelles sont ces formes pensées (mémoires émotionnelles) et de les réintégrer en se plaçant dans l’arrière-plan. 

Le mental ordinaire fonctionne à partir des mémoires donc à partir du connu. Et comme le connu est du passé, donc mort, on peut extrapoler que le mental ordinaire ne peut toucher à ce qui est vivant, il ne fait commerce qu’avec ce qui est mort. Il n’est donc pas créateur, il est seulement un comparateur par rapport à ce qu’il sait déjà, un réacteur à tous les stimulus qui vont activer une mémoire.


Qu’est-ce que c’est que cette histoire de 6 eme race ? Cela semble très lié au corps qui est transmuté, dégorgé des formes pensées parasitantes… C’est une autre forme d’expérimentation dans une matière plus subtile avec des lois de fonctionnement différentes.


Lorsque nous expérimenterons la 6eme race serons-nous réunifiés totalement avec notre partie etherique ? Parce que si on n’est plus identifié, existons nous encore ?… il reste une identité avec des caractéristiques et qui n’est plus limitée par cette matière dense.


Qu’est-ce que c’est que cette identité ?… La conscience d’exister, savoir plutôt que connaître à partir de mémoires limitantes qui ne donnent pas toute l’information. C’est la justesse de ce savoir qui va évoluer au fil des vécus dans des densités différentes.


Ne rien croire. Ma compréhension s’affine…

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